Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪ HA7h9
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Thème 5 par Alwenn (Merci à Celska pour son codage) o/
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 Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪

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MessageSujet: Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪   Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪ Icon_minitimeMer 2 Jan - 17:58


Présentation de Loan /
Nero Kuragari ~ ♪

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  • Nom : Kuragari
  • Prénom : Moi, c’est Loan ! Et moi, c’est Nero.
  • Age : J’ai 16 ans. Ouais, pas plus ni moins.
  • Sexe : Garçon. Ne nous prends pas pour des filles non plus !
  • Race : Humain Schizophrène. Niark !
  • Guilde : /
  • Grade : /


Ma Notre Physique ~ ♪
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Je – tout comme moi – suis un jeune adolescent âgé de 16 ans. Ne nous vieillissez pas, merci ! Hum… heu… je mesure dans les environs d’un mètre cinquante-cinq. Je parais même avoir 14 ans… Ouais. On a l’air d’un puceau à cause de lui ! Nero, si tu pouvais te taire, ça serait bien. Donc… Mais comme je dis rarement son âge de toutes manières, ça ne change rien… Et puis, mes parents n’étaient pas des géants. Alors moi non plus. D’abord, tes parents, ils sont morts maintenant.

Le jeune garçon que je suis… que nous sommes arbore une magnifique chevelure grise-noire, tirant plus vers le noir clair que sur le gris. Comme un ciel gris… Ou éventuellement… comme les cendres des flammes refroidies par de la neige ou de l’eau… Comparaison pourrie avec nos pouvoirs. Super, trouve mieux la prochaine fois, Loan. Promis. Ou pas. Toutefois, lorsque le soleil les assombrit en passant dessus, il donne une noirceur étincelante… la noirceur de Nero ? Fort possible. Sinon, mes cheveux sont généralement foutus en bataille complet et ébouriffés. Encore plus avec le vent. Ça me va plutôt bien apparemment. Ils sont tellement en désordre que je ne possède pas d’emplacement spécifique pour ma raie, et je ne cherche pas à en avoir comme ça, je suis tranquille. Comme la trois quarts des gars. Mes cheveux partent dans tous les sens. Je ressemble vraiment à un gosse de sept ans… un peu garnement à définir. Un garnement plus mature qu’on ne le pense… Mais ce n’était pas de ça qu’on parlait. Tu n’as pas grandi dans ta tête depuis ce jour. Ou presque. Dommage pour moi. J’aurais pu te contrôler plus facilement. On parle de la description, pas de mon histoire…

Ma crinière grisâtre ne ressort pas vraiment avec mes yeux… heu… gris ? Ouais heu… peut-être pas gris non plus… si ? Parfois je te trouve con. Mais là, tu bats des records. Ils sont bleus, tes yeux ! Tu es aveugle ou tu te ne regardes pas dans le miroir ?! Hum… merci pour ce petit commentaire Nero… je m’en serais passé… Il fallait bien que je trouve quelque chose de salaud à dire durant ta description ! C’est réussi, rassure-toi. Si tu aurais pu éviter les insultes, ça aurait été cool aussi… Mes yeux sont donc d’un bleu ciel assez clair. C’est pour ça que je disais qu’ils étaient gris, mais j’ai été contredit, donc je me tais. On ne lit que des sentiments joyeux et agréables, dans mes petits yeux adorablement craquants… Tu t’auto-complimentes félicitations ! Et ouais… mais au fond, ils expriment un grand tourment provenant de mon enfance passé… j’ai encore du mal à m’en remettre, surtout que Nero a débarqué au même moment dans ma vie ! J’aurais préféré être libre qu’être avec toi, moi je te le dis ! Moi aussi. Heu… Donc. Comme toute personne dite normal, je mets du temps à m’habituer à l’obscurité. Mais je vois plutôt bien une fois dans le noir. Surtout quand on est éclairé par les flammes de Nero. Et puis la nuit, il fait plutôt froid, donc moi, je m’entends bien avec la nuit. Et Nero aussi car c’est là qu’il peut commettre le plus de meurtres quand je ne le contrôle pas…

Après ce début de description où je m’engueule déjà avec Nero, je n’imagine pas la suite. Mes habits ! Il a un de ces genres… Le plus banal au monde… un peu de noir avec quand même. Ça manque de rouge. Pardon de ne pas mettre de rouge pour ton bon plaisir ! Je suis habillé de vêtements assez légers tels que des pantacourts et des tee-shirts. Avec une petite veste sans manche par-dessus pour la classe. Tu crois avoir la classe… mais tu es aussi laid qu’une chaussette. Je ne riposterai pas à ce commentaire désobligeant. Je reste malgré tout dans les couleurs sombres ! Mes pantacourts sont plus souvent gris très clair ! Ou vert kaki très clair également ! La plupart du temps, mes tee-shirts sont de couleurs blanches. Mais il m’arrive d’en mettre de d’autres couleurs… Peut-être qu’en je suis à court de tee-shirts blancs ? Ils peuvent avoir des petits dessins glauques aussi… têtes de mort, chat noir au clair de lune levant sa patte vers une toile d’araignée, un homme avec un couteau ensanglanté, heu… de tout quoi. Je l’oblige un peu à les porter pour faire peur aux types dans les rues ! Et j’enfile souvent une veste noire sans manche par-dessus mes tee-shirts. J’ai un bracelet tout aussi noir qui est assez long comme ceux des sportifs parfois, sur le poignet droit. Je chausse la majorité du temps des baskets simples. Non je vous assure ! Je. N’ai. Pas. Froid ! Avec le pouvoir de la neige… et le pouvoir du feu de Nero, je me demande comment je pourrais avoir froid…

Niveau escalade, je suis très fort. Vrai aventurier ? Non. Pas vraiment. Mais lorsque je suis fatigué et que j’ai la flemmardise terriblement d’aller chez moi, je me repose sur une branche d’un arbre plutôt haute pour pas qu’on me repère. Donc, il faut bien que je grimpe jusqu’à la branche. Autrement dit, il me faut un niveau d’escalade puissant. Alors voilà ! Je me suis entraîné. Entraîne-toi plus à maîtriser tes dégoûts lorsque j’assassine des types et que tu refuses de manger leur cœur. Ce. N’est. Toujours. Pas. COMESTIBLE ! En quelle langue il faut que je te le dise ?! Je peux être souvent perdu dans mes pensées… ou en grande engueulade avec Nero intérieurement. Je cours vite… pour échapper à la police quand je suis repéré pour un éventuel meurtre, même si Nero évite que je me fasse choper. Ça échoue parfois. Non, je rigole. Encore heureux.

Ma puissance magique est minable. Terriblement minable… Ho, je parle de la mienne, celle de la neige. Non parce que, celle de Nero… elle peut faire de sacrés carnages ! C’est ma magie, parle de la tienne, je parle de la mienne ! Tiens, comme j’y suis, je vais commencer. Ma magie, je la pratique autant que je peux. Je cherche à augmenter la puissance, comme je l’utilise souvent pour martyriser les types. STOP ! C’est bon, on n’a pas besoin de savoir la suite Nero ! La mienne est faible. Seul avantage, elle peut rivaliser avec celle de Nero. Comme ça, s’il va trop loin, je peux bloquer les effets de sa magie. Malheureusement.



Mon Mes Caractères ~ ♪
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Loan : Je suis quelqu’un de très gai et enthousiaste. Je fais peut-être souvent le fou et le guignol comme un gamin complètement écervelé et immature. Mais je peux être aussi très sérieux quand je le veux. Cependant, bien que je peux être un garnement prétentieux, je m’avère aussi être l’opposé de moi-même… Comment dire… J’ai eu de la malchance… il a fallu que je devienne schizophrène contre mon gré… Nero se présentera tout à l’heure… ça peut vous faire peur, alors attendez-vous à certains trucs… Tu es vraiment saoulant Loan. Tu anéantis tous mes effets de surprise. Je m’en fous de tes effets de surprise. Déjà, tu n’aurais jamais dû être là. C’est de la faute de mes parents ! C’est à cause d’eux si je suis comme ça maintenant ! Ils ont déclenché cette haine au fond de moi ! Une haine qui a pris forme peu à peu et qui a crée Nero ! Au moins, quand je suis là, ça t’évite d’être soumis aux autres. Mais tuer des gens, moi, ça ne m’intéresse pas. Ça, je l’ai compris.

Bref, sinon, je peux me montrer facilement adorable. Parce que, je trouve l’être aussi… Non ! Ce n’est pas la modestie qui m’étouffe ! On a remarqué. Espèce de crétin ambulant, voilà comment tu devrais te décrire plutôt. Tu verras comment je ferai des commentaires sur toi tout à l’heure… Je prends la vie du bon côté et je suis abordable aisément. Je suis donc très joyeux, enjoué et très joueur aussi. On peut le remarquer à mon admiration devant n’importe quoi, notamment les animaux. Allez savoir pourquoi les animaux ! Je les aime bien… J’aime bien discuter les gens, lorsqu’ils m’apprécient. Petites parenthèses… Oui, je ne suis pas très apprécié par les gens à cause de Nero… ils ont peur de moi… et de ce que je peux faire, quand ils me connaissent… Nero adore aussi m’arrêter quand je suis sur le point d’acquérir quelque chose d’important à mes yeux… Je hais l’amitié. Enfin voilà… fin de la parenthèse… Ou… faire des bêtises ? Heu… non, quand même pas. Je ne suis pas un gosse de sept ans, bien que je fasse quelques actions comme une gosse de sept ans… Déclencher des bagarres ? Moi non, Nero le fait… Ça l’amuse… Tu as dit que tu me laisserais me présenter ! Alors la ferme ! Ha oui, pas faux. Je suis de nature excité et fougueux. On ne peut pas me tenir cinq minutes en place. Enfin presque. Pas toujours. À vrai dire, je pense être plus calme qu’excité comme une puce.

Je reste toutefois quelqu’un de sympathique, aimable et amical… enfin, je crois. À vous d’en déterminer lorsque vous me croiserez. En plus de ça, tu te répètes. Tu es vraiment con, mon pauvre Loan. Je fais mon possible pour rester toujours de bonne humeur. Sinon, j’aurais déjà sombré dans les ténèbres avec Nero… On se hait mutuellement, mais lui, il essaye de me rallier à sa cause. Il veut que je devienne comme lui. Il n’en est pas question. Je déteste la mort et le sang ! Les guerres aussi ! Comment veut-il me faire changer ? Non, de toutes manières, je ne le rejoindrai pas ! Même si un jour il ne me reste que cette solution pour survivre… dans ce cas, j’opterai pour la mort ! Je préfère encore me suicider que me rendre à Nero ! Aller ! Viens enfin ! Tu verras comme c’est génial d’être sadique ! D’aimer ce que les types haïssent ! Vraiment pas pour moi…

Je suis très influençable et je ne résiste pas quand on me donne des ordres quelconques ou je ne réagis pas quand on me fait des commentaires désobligeants à mon égard. Ils m’atteignent durement, mais je tiens le coup en me disant d’ignorer ces paroles. C’est difficile… Et il arrive que Nero passe pour faire regretter ses propos à la personne qui les a dits… Je fais aussi preuve d’un pessimisme à toutes épreuves… Putain, que je hais ce gars-là. Pourquoi a-t-il fallu que je tombe sur le seul mec soumis à tout le monde ?! Malchance… grosse malchance…

Nero : Alors… comment faire court… Je suis le sadique en puissance. Je pourrais m’arrêter là, ça serait suffisant. Mais bon. Autant d’écrire au maximum, histoire de faire plus peur aux types. Je ne comprendrai jamais pourquoi tu dis « types » et pas « gens »… Parce que mon langage est plus perfectionné que le tien. Je ne vois vraiment pas le lien avec « types » et pas « gens »… Laisse tomber, tu es trop con. Je suis de caractère complètement opposé à celui de Loan. En gros… Moi je ne suis pas un gentil petit garçon tout mignon, tout tranquille, à l’écoute de tout le monde et studieux à l’école. De toutes manières, Loan ne va plus au lycée par pure prudence. Excuse-moi mais quand on est habité par un monstre, on ne tient pas trop à faire peur aux autres ! J’ai un cœur de pierre ! Je ne ressens pas… ou peu d’émotions. Surtout celles qui concernent le plaisir lorsque je martyrise des types.

J’adore beaucoup faire peur et terroriser les gens. C’est un sentiment si extraordinaire qu’on ressent quand ils me… nous voient passer à côté d’eux. Leur expression horrifiée et leur réflexe de s’écarter vite de nous. Tant mieux. Qu’ils s’en aillent loin ! Je ne supporte pas l’amitié. Oui, tu l’as dit tout à l’heure dans MA description. On ne le redit jamais suffisamment. Ça affaiblit notre puissance de caractère. C’est pour cela que je fais tout mon possible pour arrêter Loan quand il est sur le point de se lier d’amitié avec quelqu’un. Malheureusement, certaines personnes le connaissent bien et elles restent avec lui malgré ma présence terrifiante… Si je pouvais, je les assassinerais toutes ! Je ne veux pas qu’elles approchent Loan ! Les sentiments de Loan sont plus forts dans ces moments-là quand il est avec elles… Je ne peux rien faire… Oui, je ne vais pas te laisser m’avoir tout le temps !

J’apprécie énormément le sang également. Logique… Quand je peux massacrer quelqu’un et lui arracher le cœur pour le manger, c’est cool. Je tue lentement mes victimes. C’est plus amusant. J’aime les faire souffrir et entendre leurs cris de douleur, de supplice. Mais Loan est malheureusement contre ça. Il est dégoûté rien qu’en voyant un cœur… Bien sûr que je suis dégoûté, attends ! Pourtant c’est comestible ! Il faudrait qu’il goûte ! Mais tu es vraiment malade et écœurant en prime, Nero ! Je n’ai jamais dit que je ne l’étais pas. Je reprends donc… J’adore martyriser les gens aussi bien mentalement que physiquement. J’ai une forte influence sur Loan qui ne sait pas toujours quoi faire pour m’arrêter. Comment veux-tu aussi… Raah et puis tu m’énerves ! Voilà, vous voyez ?

On reste toutefois un peu « complice ». Quand c’est moi qui fais des conneries, c’est lui qui prend. Booouuuuhhhh !!!!!!....... Alors, je suis bien obligé de faire quelque chose, non ? Ok, je m’en fous aussi un peu de ce qui lui arrive. C’est à la fois mon problème et le sien. J’ai une réaction instantanément. On me cherche, on me trouve. Et lorsqu’on me cherche, ça barde à tous les coups ! Le sang coule, un vrai massacre… je ne vais pas jusqu’à tuer, même si ça ne me dérangerait pas. Je ne tiens pas à ce qu’on finisse en taule. On manque beaucoup de fois… Je ne pourrais plus assouvir mes envies sadiques… On l’aura donc compris. Je m’emporte avec une aisance spectaculaire. Je ne supporte absolument pas que Loan ou moi-même soit humilié en publique. Alors attention à vous si vous me croisez ! Ne venez pas m’embêter ! Je n’y compte pas moi-même…




Mon Notre Histoire ~ ♪
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Nous étions un 12 janvier… Il devait être aux alentours de 7h. Un brouillard blanc s’étendait à perte de vue. On ne voyait pas à une dizaine de pas devant soi. Il neigeait en abondance. Une vraie tempête. Rien ne semblait vouloir l’arrêter. Non, la neige ne paraissait pas vouloir s’arrêter de si tôt. Le soleil était caché par les nuages tout aussi blancs. Le paysage blanc émerveillait, enchantait, intriguait les passants dans les rues qu’ils connaissaient bien mais qui les enivraient toujours. Les maisons, les rues, les arbres… Tout était recouvert d’une épaisse couche blanche étincelante avec les rayons du soleil qui filtraient à travers les nuages. Elle éblouissait simplement en la regardant. Les lacs se trouvaient être totalement gelés et reflétaient le ciel blanc-gris. Les animaux aquatiques qui vivaient dessous cette plaque de glace devaient se rapprocher du bord dans l’espoir de trouver une zone libre pour respirer. Les habitants de la ville circulaient avec difficulté. La neige devait bien leur arriver jusqu’aux genoux par endroit. Sinon, elle mesurait dans les environs de cinq à six centimètres. Des batailles de boules de neige, des bonhommes de neige, des sculptures faisaient rages aux quatre coins de la ville. Des enfants s’amusaient à faire du patin à glace sur le lac central. C’était très animé. Tout le monde passait du bon temps dans la ville. Peu de personnes devaient travailler ce jour-là…

C’est ce jour-là que je naquis un petit village du nom de Zérona durant l’hiver redoutable. Le village dans lequel je vivais, avait constamment de nombreux voyageurs et visiteurs qui étaient accueillis avec joie et bonne humeur. Ma famille fut heureuse de me voir enfin, comme tout le village d’ailleurs. Tout le monde se connaissait et s’entendait parfaitement bien. Ils s’entraidaient tous, personne n’était mis à l’écart. Ils m’apprirent de nombreuses choses, j’allais à l’école avec tous les autres enfants et me fis énormément d’amis. Beaucoup d’amis. Mes parents découvrirent vite la magie que je maîtrisais pour l’avoir utilisée une fois inconsciemment était petit. Moi, je ne m’en souvenais pas… Cela m’attira des problèmes… Mes parents avaient une idée précise de ce qu’ils voulaient me faire, mais moi je ne m’en doutais absolument pas. Rien de malsain ne semblait peser sur moi. Du moins, c’est ce que croyait le reste du village… Je suis donc né lorsqu’une tempête de neige faisait rage dehors. J’en garde un précieux souvenir. Oui, c’est étonnant quand on est qu’un nourrisson, je l’avoue. Mais j’y suis parvenu. Peut-être avec l’aide Nero… Enfin, je vais y venir, je vais y venir… Je disais donc… J’ai vécu une enfance paisible et tranquille. Mes parents me chouchoutaient particulièrement. Ils m’adoraient. J’étais quand même leur premier enfant ! J’avais tout ce que je voulais ! Même mes grands-parents s’occupaient de moi comme si j’étais leur enfant !

Mais un jour… tout cela changea du totalement… Six ans plus tard, mes parents eurent un nouvel enfant… Une petite sœur… elle s’appelle Flore. Oui, fleur en italien. Je l’aimais beaucoup, certes. Mais voilà… à cause d’elle, je perdis tout cet amour, toute cette attention que mes parents me procuraient… ils avaient même l’air désormais de m’ignorer complètement… ils se foutaient de moi, de ce que je devenais… je commençais à créer une haine particulière à leur égard. Une haine impossible à faire disparaître… Cependant, mon côté doux, affectueux et avoir aidé quiconque avait des problèmes restait présent à pleine puissance. Il ne me quittait pas… Encore heureux… C’est alors qu’un évènement vient me « diviser » en deux.

Un soir de pleine lune… je sortis dehors me promener… j’avais sept ans. Très jeune pour sortir comme ça dans le noir. Mais bon, mes parents ne s’en était même pas rendus compte, à tous les coups. Alors ça ne changeait rien. Même si on m’enlevait, ils ne le remarqueraient pas. Je m’allongeais dans l’herbe pour regarder les étoiles scintiller. Quel spectacle magnifique, même si je préfère la neige. Je maîtrisais cette magie, la magie de la neige. Je finis par m’endormir paisiblement sur le sol, roulé en boule au milieu d’une couche de neige créée par moi-même… À mon réveil, je n’étais plus dans l’herbe fraiche. Je ne connaissais pas l’endroit. Un bâtiment sombre, obscur… Je me trouvais sur une chaise, attaché… Le sol était fait de bêton… j’entendais des bruits ça et là… on dirait des souris ou des rats… non ! Un serpent aussi ! Il n’y avait aucune fenêtre. Seulement une porte. Ce devait être par là qu’on m’avait fait entrer. Je paniquais et plein de questions se mirent à tambouriner dans ma tête : Qui m’avait emmené ici ? Qu’avais-je donc fait pour mériter ça ? Que me voulait-on ?

C’est là soudainement que la pièce s’illumina. J’en fus ébloui et je fermai les yeux avant de les rouvrir lentement. J’attendis de m’être complètement habitué pour regarder autour de moi avec un air inquiet. Un vieux bâtiment abandonné… J’aperçus réellement des rats et un serpent au loin dans une cage. Je continuais mon exploration du regard et celui-ci se posa sur une personne que je reconnus instantanément devant la porte. Mon père… que faisait-il ici ? Serait-il mêlé à tout ça ? Pourquoi ? Ce dernier s’avança vers moi. Il m’observait intensément. Je soutins quelques instants son regard avant de baisser les yeux. La haine et la peur montaient en moi. Deux sentiments qui atteignaient mon cœur en parfaite harmonie. Elles formaient une énorme boule bouillonnante, prête à exploser. Du feu ? La boule n’attendait que ça !

Mon père ne le remarqua pas. Tant mieux pour moi. Il tourna la tête vers une fenêtre opaque que je n’avais pas remarqué jusque là. En même temps, elle se confond avec la couleur du mur… Je perçus un mouvement derrière la vitre fumée. Et je crus reconnaître aussi la vague silhouette… Maman… Alors ils étaient de mèche derrière tout ça ? Il y’avait bien une raison contre laquelle ils m’avaient ignoré pendant tout ce temps ? Que manigançaient-ils comme ça ? Il fit un signe à l’ombre qui s’évapora aussi vite que je l’avais aperçue. Mais elle réapparut très rapidement dans la pièce. C’était bien ma mère en chair et en os… La lueur dans mes yeux s’envahit de tristesse et de terreur tandis que celle dans les yeux de mes parents restait vide d’émotions. Ils s’en fichaient de moi. Je le compris tout de suite. Non, je l’avais compris depuis un petit moment… Ils ne souriaient pas. Je crois même qu’ils étaient heureux de m’avoir eu, ici. Je serrai les poings dans mon dos. Une petite boule de neige entoura mes mains. Je ne dis rien, car mais je savais ce que c’était… mon pouvoir de la neige… Je sentis aussi une froideur m’envahir avant de devenir enflammée. La haine avait pris le dessus. Ma bonté d’âme s’était envolée. Etais-je encore moi-même, d’ailleurs ? Je ne pensais plus qu’à tuer. Je me surpris à entendre une voix au fond de moi. Une voix qui me disait de lui laisser la place pour anéantir ces deux personnes qui s’étaient jouées de moi pendant tout ce temps après la naissance de ma sœur… je ne cherchai pas à résister. Je laissais la voix prendre le contrôle. Une lueur brûlante animée par l’envie de meurtres et la haine remplaça désormais la peur et l’horreur. Mes parents sursautèrent à cette vue qu’ils leur étaient destinés. Ils reculèrent de quelques pas. Les flammes recouvrirent mes mains jusqu’à cramer les manches de mes bras pour les envelopper sans me brûler moi. Au fond de moi, j’étais étonné. C’était la voix qui créait ça ? Les liens à mes poignets furent réduits en cendres et je me retrouvais libre. La voix ayant le contrôle, « je » me levais d’un bond, pointant mes bras enflammés devant moi. Mes parents faisaient des signes de bras pour me dire de ne pas approcher, de me calmer, qu’ils ne voulaient rien me faire. Je ne les crus pas le moins du monde. « Je » continuais d’avancer jusqu’à les coincer dans un coin de la pièce. Ils me suppliaient de ne pas les tuer. La voix se fit un plaisir d’ignorer leurs supplices. Mes deux bras s’étendirent sur les côtés, laissant s’échapper de multiples flammes qui atteignirent les murs, encerclant ainsi mes parents. Le tourbillon de flamme prenait de plus en plus d’ampleur, rétrécissant au fur et à mesure l’espace libre que mes parents possédaient. Il finit même par leur lécher le visage, les brûlant au voyage. Quand soudain… ! Tout s’arrêta. Les flammes disparurent. Mes parents s’effondrèrent au sol, meurtris par « ma » contre-attaque… Ils n’étaient pas morts. La voix ne les avait pas tués. Pas encore… Elle avait toujours le contrôle… et je pressentis de mauvaises idées… Mais je lui avais laissé la place. Elle maîtrisait la situation. Je n’avais plus qu’à leur dire… Adieu… La voix me fit faire un rictus. Mes parents levèrent difficilement les yeux vers « moi ». Ce fut leur tour d’être terrorisés. La voix s’en fichait. Elle en prenait même plaisir à les voir comme ça ! Elle leur susurra :

« Votre fils, Loan… Vous dit adieu.
- Comment ça « votre fils »… ? C’est toi, notre fils ! s’exclama ma mère.
- Ho non, ça m’étonnerait. Moi, je ne suis rien. Rien que…
- Rien que… ? répéta mon père pour en savoir plus.
- Ca ne vous regarde pas. Et puis, vous allez périr dans d’atroces souffrances. Alors à quoi bon vous le dire ? »


La voix coupa court à la discussion en désignant avec sa main un couteau qui traînait accroché à la ceinture de mon père. Un tourbillon de flammes vint le saisir et le ramena dans « ma » main. Mes parents ne cherchèrent même pas à le récupérer. Là, la voix ordonna aux flammes de former un cercle autour d’eux trois sans les toucher. Ces dernières obéirent instantanément. « Je » m’agenouillais alors devant mes parents et « m’ »approchaient d’abord tout près de ma mère. Là… « je » fis des choses que je n’aurais jamais pensé que « j’ »étais capable de faire… mais ce n’était pas moi… moi, je me contentais d’observer les actions de la voix. « Je » commençais par entailler ma mère à plusieurs endroits, notamment les bras, le cou et le visage… Elle couinait de douleur, mais « je » n’y faisais pas attention… « Je » levai le couteau au-dessus de ma tête avant de l’abattre dans les yeux de ma mère pour ne plus avoir à regarder ce regard d’horreur. Elle hurla. Elle lança un appel à l’aide à mon père qui voulut réagir, mais fut très vite bloqué par un mur de flammes que la voix avait appelé mentalement. La voix reprit sa précédente action en appuyant plus fort sur la lame et créa des coupures plus profondes. Au bout d’un moment, elle en eut marre. Je le sentais. Elle alla plus loin. Elle recouvrit la lame de flammes pour la faire chauffer abondamment. Lorsqu’elle fut assez chaude, elle l’appliqua doucement d’abord sur le ventre de ma mère et appuya dessus jusqu’à pouvoir le trancher en deux. Ma mère s’évanouit, au bord de la mort. « Je » tentais de la ranimer. « Je » voulais qu’elle assiste au spectacle de sa mort. En vain. Alors la voix continua seule sous le regard de mon père toutefois… Lorsque son ventre fut tranché, je perçus déjà qu’elle allait mourir dans moins d’une minute. Mon père assistait bien à sa mort… me doutant que ça serait bientôt son tour… La voix retira tour à tour les organes du ventre de ma mère : les intestins, les poumons, les reins, le foie… Elle les découpait en plusieurs morceaux et les mangeait. Là, je me retrouvais à prendre un court instant le contrôle pour tout revomir. La voix comprit qu’elle n’arriverait pas à les manger en paix. Elle conclut donc finalement en arrachant le cœur de sa victime de sang froid. Elle ricana contre mon gré en le brandissant en l’air. Moi, intérieurement, je faillis tomber dans les pommes… elle avait tué ma mère ! Un monstre ! J’étais devenu un monstre ! « Je » posais le cœur sur le sol avant de « me » diriger tranquillement vers mon père… et « je » renouvelai la même action avec autant de vigueur que pour ma mère… lorsque le travail fut terminé, « j’ »admirais le résultat. Deux corps répugnants et ensanglantés, le ventre tranché en deux avec les organes débordants de ci et de là, quelques uns traînaient par terre sous mes yeux… un affreux spectacle pour le moi que je suis… Le pire était que dans mes deux mains, « je » tenais les deux cœurs. Les rats se ruaient déjà sur les corps. « Je » récupérai mon sourire sadique et « m’ »éloignai vers la sortie.

Une fois dehors, « je » fus ébloui à nouveau mais cette fois par le vrai soleil. « J’ »attendis de m’être habitué pour regarder. « J’ »eus du mal à reconnaître l’endroit sur le coup. Mais « je » finis par me repérer et « me » dirigeai droit vers le village, les cœurs toujours dans les mains. En pénétrant dans mon village, je ne pus qu’attirer l’attention sur moi. Les gens me dévisageaient avec dégoût. Oui, « j’ »avais oublié de préciser que « j’ »étais recouvert de sang à cause de « mon » petit boulot. Tous « me » laissèrent passer sans vouloir « m’ »approcher. Tant mieux. « Je » ne voulais pas leur parler.

« J’ »arrivais enfin chez moi. « Je » rentrai et pénétrai dans la cuisine. « J’ »ouvris le congélateur et enfournai les deux cœurs à l’intérieur avant d’aller prendre une bonne douche. Durant la douche, la voix me reparla… ça faisait donc un peu genre : Je parlais tout seul.

« Je te rends ta chère et tendre place. Mais sache que désormais, plus rien ne sera comme avant. Maintenant que tu m’as crée, tu seras plus souvent méprisé par les types dehors. Plus personne ne viendra te voir à cause de moi. Et sache aussi que je ferai tout pour te mener la vie dure. Je prendrai le contrôle quand je le souhaite, te torturerai l’esprit et autres encore ! Je suis capable de tout !
- Non ! Va-t-en ! Je ne veux plus te voir ! Tu es un monstre ! Je ne veux pas être un monstre par ta faute ! Laisse-moi ! Dégage !
- Mon pauvre petit… il est trop tard… Désormais, je serai là. À tes côtés. À la fois pour t’aider à te défendre… mais aussi à te traumatiser plus encore que tu ne l’es en ce moment ! »


Et je me mis à pleurer dans la douche… mes larmes se mélangeaient avec l’eau rougeâtre… j’avais tout perdu. Ma famille, mes amis… ma sœur ? Non, j’avais cru la voir dans la foule dégoûtée par mon passage… je n’avais plus rien au monde… je n’avais plus le choix… je devais quitter cet endroit… J’avais compris quelque chose… que depuis ce jour-là, j’étais habité par un monstre sanguinaire, sordide et sadique… qui aimait le sang et tuer par-dessus tout… je devais apprendre à le maîtriser… je donnais par la même occasion un nom à cette voix : Nero.

De nombreuses années plus tard…

Durant les quelques années qui avaient suivi cet évènement, je repris ma vie en main… mais j’avais beaucoup de meurtres sur la conscience. Bizarrement, je n’étais pas poursuivi pour autant par la police. D’ailleurs… existait-elle vraiment ? Je n’en savais rien… en tout cas, si elle existait, Nero se ferait un plaisir de les torturer. J’avais appris à le contrôler un peu. Mais il intervenait toujours à sa guise… Quand il pressentait quelque chose d’intéressant à faire ! Ou quand je me faisais humilier… il voulait tout le temps se venger. Ça finissait en bain de sang généralement… Je continuais à parler tout seul et les gens me prenaient vraiment pour un fou. Non. Je n’étais pas fou. Seulement schizophrène…




Mes Nos capacités ~ ♪
.
Loan :

- Yuki no Shippuu : Une tempête de neige se déclenche tout autour de moi à une vitesse extraordinaire que je maîtrise plus ou moins parfois.
- Yuki no Sekichu : De la neige apparaît sur l’un de mes bras ou mon poing, comme je le souhaite, et peut s’étirer si je le désire.
- Yuki no Kyuu : Je crée plusieurs boules de neige qui peuvent éventuellement léviter, un peu galère à tout porter.
- Yuki no Ame : Une pluie de neige tombe autour de moi, légère comme de la poudreuse. Elle se déclenche toute seule au repos…
- Yuki no Souzou : Je fabrique à la vitesse de l’éclair une forme qui je peux faire bouger librement tel qu’un bonhomme de neige, un chien de neige, un chat de neige, etc…

Nero :

- Hi no Tatsumaki : Je déclenche une tornade de feu qui se propage sur tous les alentours et réduit en cendres beaucoup de choses car les flammes sont à une chaleur impressionnante.
- Hi no Misairu : Je crée des petits missiles de flammes qui tourbillonnent près de moi en attendant mes ordres.
- Hi no Sekichu : Tout comme mon cher collègue Loan, je peux faire apparaître des flammes sans que je me brûle le bras, nos vêtements y passent par contre. Les flammes peuvent s’allonger selon mon désir.
- Hi no Ryuu : Avec mes flammes, je donne forme à un dragon qui réalise à peu près les mêmes attaques ou autres.
- Hi no Daichi : Une chaleur traverse tout le sol, si forte qu’elle assèche tout ce qu’il y a dessus elle.

« Vous l’aurez remarqué, mes techniques sont plus… performantes que celles qui servent à faire « joue-joue », la plupart du temps, de Loan. Autant qu’il me laisse la place !
- Dans tes rêves ! »



About Me ! ~ ♪
.


  • Ma date de naissance : - 3 janvier 1997 - Le malheur... Nées début janvier... De quoi se faire chier car c'est les vacances une fois sur quatre. Ou la reprise des cours. Ex-as-pé-rant ! - J'ai pas demandé à être née à ce moment-là, Astro !
  • - Je suis une fille. J’ai pas changé entre temps. - Encore heureux ! Ça aurait été malheureux sinon !
  • Comment j'ai découvert le forum : - Heu… je crois que j’ai cherché sur Internet un fo’ Fairy Tail et j’étais tombée sur celui-là. Je suis toujours dessus depuis sa « transformation » en un autre contexte.
  • - Je sais coder et je sais pas coder. J’apprends ! - Elle apprend, mais elle reste toujours aussi nulle... Chut, ne lui dites pas... - Ça va, je suis pas sourde encore !
  • - Je sais pas grapher. - Alors là par contre, c'est encore pire que le codage ! - Peine perdue. - Pour une fois qu'on est d'accord. - Miracle, ouais.
  • Code dans le règlement : Validé by Al', et ta gueule Nero. - Le code le plus bizarre au monde ! - J'avoue. - Encore d'accord avec moi ? - C'est un exploit.

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Yume

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MessageSujet: Re: Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪   Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪ Icon_minitimeMer 2 Jan - 18:14

Nyah, re-bienvenue ! :3 J'adore ton perso et ta prez ! x3
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MessageSujet: Re: Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪   Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪ Icon_minitimeMer 2 Jan - 18:53

J'te valide o/
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MessageSujet: Re: Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪   Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪ Icon_minitimeMer 2 Jan - 18:58

Youhou, vive la schizophrénie !! o/

Je m'apprête à lire ta fiche ^^

PS : Pour être exact, ce n'est pas vraiment de la schizophrénie, mais de la bipolarité. La schizophrénie entraîne des délires paranoïdes et non pas des dédoublements de personnalité :3

Si tu veux tout savoir : Vive Wikipédia o/

EDIT : Raah, Al' m'a encore doublée ! Bon, j'ai plus qu'à déplacer le sujet u_u /vafaireleboulotchiant/
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MessageSujet: Re: Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪   Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪ Icon_minitimeJeu 3 Jan - 15:57

La schizophrénie reflète aussi diverses personnalités dans l'esprit du malade (ma mère travaille en hôpital psy les gens xD), donc c'est pas forcément de la bipolarité même si ça pourrait l'être :3

Sinon j'ai adoooooré la fiche et le codage est classe ^^ Re-bienvenue et bon anniversaire :D
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MessageSujet: Re: Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪   Un Schizophrène... tout gentil et tout sadique ~ ♪ Icon_minitime

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