Formulaire de présentation
***Fiche d'identité de Nizar Farimor***
Nom: Farimor
Prénom: Nizar
Âge: 18 ans
Votre magie: Magie du vent
Votre Rang : Dragon slayer… si possible.
Votre guilde: J’ai pas encore choisi, peut être mage indépendant.
Description physique & morale
Caractère:
Nizar est calme. C’est ce que vous diront tous les gens qui l’ont croisé. Il est calme et sûr de lui. Il n’a aucune arrogance sur le visage, juste une certitude de ce qu’il vaut. Il aime le silence et la nuit. Mais son truc c’est une douce bise qui lui caresserait le visage un soir d’été. Il aime la hauteur aussi, si vous ne le voyez pas à coté de vous, levez les yeux, il risque d’être là. Autres choses notables que les gens pourront dire sur lui, c’est qu’il se lie facilement d’amitié avec les gens, et si un de ses amis a un quelconque problème, il viendra l’aider dans la mesure de ses capacités.
Physique :
Nizar est grand et maigre, il a les cheveux blancs, et les yeux gris. Il parait un peu chétif mais il est plutôt bien fourni, un entraînement de tous les jours lui vaut son allure fine et musclé, qu’il cache avec ses vêtements. Il porte toujours le même style de vêtements, T-shirt rouge avec veste noire et un jean. Il a tantôt un air rêveur, tantôt un air facétieux. Il a un sourire enjôleur. Sa coupe au bol mal coupée lui donne air négligé qui ajoute à son air rêveur une touche d’innocence. Il est plutôt beau, et en joue souvent auprès de la gente féminine.
Ce n'est que mon passé et rien d'autre !
An 0 mois 3 semaine 2 jour 3
Un homme et une femme, tous deux vêtus de haillons, courent dans la rue, semblant sans but mais se dirigeant vers un bâtiment à l'autre bout du village, la femme tient un paquet de linge dans les mains, elle dépose un paquet au pied de la porte de la maison. Le paquet s’agite, une touffe blanche en sort, avec un visage d’ange en dessous. L'homme pose une lettre avec le bébé et ils s’enfuient tous les deux dans la nuit obscure de ce mois d'avril. Il fait froid, le bébé pleure. La porte s’ouvre, la dame regarde le bébé, le prend dans ses bras et referme la porte. Elle le pose dans un lit chaud, le bébé se tait. Elle ouvre la lettre et la lit à la directrice de l’orphelinat qui vient d’arriver.
"Nous sommes désolé de vous donnez plus de travail mais notre fils Nizar doit vivre, et nous avons à peine les moyens de subvenir à nos besoins…"
La directrice soupire, se penche au dessus du berceau et dans un murmure : "Bienvenue parmi nous, pauvre petit Nizar."
Elle sorte toutes les deux de la chambre du petit Nizar, et retournent se coucher.
An 5 mois 2 semaine 3 jour 4
"Nizar, reviens ici !!! C’est l’heure de la sieste."
Mais Nizar court, il n’a pas envie de faire la sieste, il sort par le petit trou qu’a fait le renard qui est venu l’hiver dernier pour voler les poules de l’orphelinat, et il se remet à courir en direction des champs. Madame Gardi lui court après mais se retrouve bloquer par le grillage, elle fait le tour mais le temps qu’elle y arrive, elle a perdu le petit Nizar de vue. Peinée d’avoir perdu un enfant elle retourne annoncer la triste nouvelle à Madame la directrice, pour qu’elle prévienne les autorités, encore… Elle en a marre à chaque fois c'est pareil, dès que c'est l'heure de la sieste, il faut verrouiller les portes de l'orphelinat sinon Nizar s'échappe, et aujourd'hui comme quelques autres fois, il s'est échappé.
Mais Nizar ne le sait pas, il continue de courir vers la campagne, il ne s’arrête que lorsqu’il est fatigué. Il s’assoit sur une souche d’arbre et regarde autour de lui, il n’y a rien à part de la verdure. Il s’allonge sur la souche, ferme les yeux et lève sa main pour sentir le souffle du vent sur sa peau. Soudain un grande ombre passe au dessus de lui, il ouvre les yeux et voit un dragon, qui descend droit vers lui.
De leur coté les autorités locales sont perdues, le jeune Nizar va toujours au même endroit, et quand elles arrivent à la vieille souche du champ de blé, il n'y a personne, aucune trace du petit Nizar, seul quelques traces de pas qui s'effacent pour laisser la place à de plus grandes traces de pas. Aucune des personnes présentes ici ne connait les dragons mais toutes savent que le jeune Nizar s'est fait enlevé, ou pire mangé, par une grande bête.
An 14 mois 6 semaine 2 jour 3
La dragonne du vent Winda, le félicite, Nizar a fini son entraînement auprès d’elle. Nizar l’enlace comme on enlacerait une mère et s’en retourne vers la civilisation. Il sent le souffle du décollage de Winda dans son dos. Elle lui a dit quand ils se sont rencontrés :
"Je t’apprend mais après il faudra que je m’en aille."
Pendant qu'il marche, il se remémore tous ce qu'il a appris et enduré. Il avait passé des mois à sauter de falaises abruptes pour apprendre à planer, n'étant récupérer par la dragonne qu'à la dernière minute, et le remonta en haut de la falaise illico pour qu'il recommence. Et quand enfin il réussi à atterrir au pied de la falaise sans s'écraser, elle l'avait fait remonter tout en haut et lui avait demander de voler, il avait donc chercher un autre moyen, un moyen plus pratique que la grosse bulle d'air dont il s'était enveloppé pour planer jusqu'au bas de la falaise, il développa cette technique l'améliorant mois après mois, seul pendant de longue période, quelquefois la dragonne, qu'il considérait presque comme sa mère, le regardait faire, soupirait et s'en allait, il ne savait où. Quand il y arriva enfin au bout de 4 longue années, Winda lui enseigna des sorts offensifs, il apprit donc à concentrer l'air au bout de ses doigts pour les propulser vers son adversaire. C'est à ce moment là que Winda assista à tous ses entraînements, qui se transformaient au fil des ans en vrai combat contre la dragonne. Il apprit à allier vitesse de déplacement et attaque rapide, favorisant l'esquive à l'impact des coups. Les combats se faisaient toujours plus acharnés, mais Winda les arrêtaient toujours avant une blessure grave. Nizar se rappelait que jamais il n'avait réussi à la blesser, ou ne serait-ce qu'à la toucher durant ces années d'entraînements. Winda, au fur et à mesure, lui enseignait des techniques de plus en plus complexes qu'il mettait beaucoup de temps à apprendre, mais y arrivait toujours.
Nizar sourit tristement en repensant à la veille, son dernier entraînement, il avait réussi à toucher Winda. Elle avait stopper le combat, et dans un sourire dragonesque, elle lui avait dit que son entraînement se terminait aujourd'hui, et qu'il était prêt. Il avait sourit, puis il avait pleurer, car il savait qu'il ne la reverrait sans doute jamais.
Nizar retourne vers la civilisation, vers l’orphelinat qui l’a vu grandir, la tête haute et pleine de souvenir agréable de la dragonne, pour savoir son histoire, son nom.
An 18
Nizar voyage à travers les terres, effectuant différentes missions de ci de là. Il y a 3 ans il a appris son nom, il cherche donc au fil des villages qu’il traverse si les habitants ne connaissent pas des gens du nom de Farimor.
Vos capacités Magiques:
Armure d’air : C’est un constant courant d’air qui tourne au raz de la peau de Nizar qui lui permet de voler, de se déplacer plus vite (avec l’aide du vent), de sauter plus haut. C’est principalement pour esquiver les attaques adverses. Il la porte quasiment tout le temps.
Pistolet d’air : Il met ses doigts en forme de pistolet et il tire de petits projectiles d’air concentré sur son ennemi.
Lames de vent : Il crée deux épées qu’il tient dans ses mains. Le seul moyen de voir ses épées est de se faire couper par elles, ou qu’il y est de petites particules prises dans les épées, au moment de leur création.