Joshua Tsurugi
Messages : 7 Date d'inscription : 23/04/2012 Age : 29
Feuille de personnage Age: Rang: Pouvoir/(Guilde):
| Sujet: God's blade, Joshua Tsurugi (fini) Lun 23 Avr - 22:49 | |
| JoshuaTsurugi "Puisses tu trouver la paix et le bonheur" © ... | • nom(s) : Tsurugi • prénom(s) : Joshua • âge : 19 ans • magie : Lumiere • rang : (C, B, A, ou S, le rang C étant le rang le plus faible et le rang S étant le plus puissant)PS : Comme vous voudrez : • guilde : blue Pegasus
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Description physique & morale. Caractère: Libre. Libre comme le vent. C'est là sa définition, son identité. Joshua est un jeune homme d'une totale liberté qui ne se laisse jamais attacher par quelque chaîne que ce soit... Même pour quelqu'un. Est-ce cruel ? Impitoyable ? Peut être bien, il ne s'est jamais posé la question. Le bien et le mal n'ont que peu de valeur à ses yeux, il ne les considère que comme des carcans emprisonnant la liberté des hommes. A-t-il connu l'amour ? Bien sur que oui, c'est l'une des rares choses qu'il n'a jamais considérées comme des chaînes. Mais alors qu'était ce ? Ce fut une explosion, comme lorsque l'on voit exploser une étoile. Lumineux, chaud et bienveillant, et surtout, totalement libre. Une seule personne a fait naître ce sentiment en lui, cet amour non possessif qui rend libre : sa mère. Et c'est en l'honneur de son amour qu'il a choisi de se consacrer à aider ceux qu'il rencontre sur sa route, comme s'il voyait en eux le souvenir de sa défunte mère. Si un seul être a su faire vibrer la corde de son âme, ce n'est pas le cas de la nature à qui il voue un amour inconditionnel et tout aussi libre que celui de sa mère pour lui. Un sentiment si fort qu'il lui a permis de s'éloigner des hommes corrompus pour se consacrer à Mère Nature. Son expérience de vie avec des êtres humains assez limitée ne lui a pas permis de connaître un sentiment tel que la haine. Bien sûr il connaît la colère, la tristesse et même le désespoir, ces sentiments lui furent laissés par ceux qui tuèrent sa mère. En revanche, il ne connaît pas la peur, qu'il considère comme une des plus ignobles chaînes. Il n'en est pas moins sensible et particulièrement rêveur et candide. Qu'est il au fond de lui ? cette question a agite ses hommes pendant de longues années. La vérité est qu'il cache en lui une profonde réserve, une sorte de timidité insurmontable qui s'empare de lui lorsqu'il doit s'adresser a des inconnus. Mais il parvient a passer outre cette limite par ses vers qu'il utilise comme moyen de transcender ses faiblesse et se rapprocher des autres. Son rêve...si l'on peut l'appeler ainsi est de débarrasser le monde dans lequel il vit de toutes ses chaînes, il veut que chacun vive comme il l'entendre et ce quoi qu'il puisse arriver. C'est la motivation derrière ses actions, libérer les autres.
Physique : Le peintre pose le pinceau sur sa toile, il veut faire un personnage parfait. Ses yeux se ferment, il voit apparaître l'image qu'il va peindre. il voit les cheveux verts comme l'herbe des prés, il les voit lisses et soyeux, flottant dans le vent. Il voit le visage volontaire aux yeux purs comme de la glace. La finesse du trait,pour en tracer le contour, puis le nez, court et pointu. Il admire son ouvrage mais trouve qu'il y manque quelque chose, alors il dessine un reflet d'argent au fond des yeux, et ce reflet dansant au fond des prunelles semble entraîner celui qui y plonge le regard dans Une eau mouvante qui emporte lentement au plus profond de son âme. Le peintre est satisfait de ce regard clair, il contemple le nez, il sait que c'est bien plus qu'un ornement alors il lui donne cette profondeur qu'il ne donne qu'aux plus belles de ses oeuvres. mais il leur manque une couleur. Son futur chef d'oeuvre se voit pare de la couleur blanche qu'il voit sur les anges, une couleur claire et chaude, vivante et vivifiante. il a achevé le visage. Il regarde la taille,, il la veut grande, mais pas trop afin de faire ressortir la candeur du caractère. Les muscles doivent être fins, biens dessines. Il ne veut pas que son personnage soit une montagne de muscles, il veut dessiner ce qu'il apparenterait a l'harmonie. Il a trouve. Les muscles seront fins, le corps svelte et léger. Les jambes longues et agiles. c'est ce qu'il voulait, le modèle qu'il espérait créer. il sourit et attaque les vêtements> il avait vu un jour n homme portant une tenue brune dont la couleur riche semblait celle d'un arbre. il la peint sur son personnage. La tunique brune aux manches longues, les rais d'or le pantalon aussi brun que la tunique. Il achève sur les chaussures qu'il crée noires. Son travail est achevé. Il a créé son chef d'oeuvre.
Ce n'est que mon passé et rien d'autre !. Chapitre un : Berce-moi tendrement
Joshua, « Dieu est avec nous ». Tel est la signification de ce nom ; Tsurugi. Le sabre. Littéralement « Le sabre divin est avec nous ». Dès sa naissance, Joshua était ainsi destiné à porter sur ses épaules un lourd fardeau. Ce nom qui aurait pu sonner comme une bénédiction était en réalité une horrible malédiction, le condamnant à vie à servir les bas idéaux des hommes cupides à la recherche de pouvoir. Pourtant le jour de sa naissance avait été extrêmement heureux, dans un, petit village, un nouvel enfant vit le jour, sa touffe de cheveux émeraude émergea de l’intérieur de sa mère, il poussa un cri, il était vivant. Le visage doux aux longs cheveux d’argent de sa mère fut la première chose qu’il vit, son nom fut la première chose qu’il entendit : Lucie, sa douce mère. Elle le berçait souvent, portant dans ses bras cet enfant qu’elle chérissait tant. Sa voix douce et mélodieuse chantait des chansons oubliées pour entretenir la féérie du monde aux yeux de son enfant. A travers ses yeux d’enfant, l’enfant vit le monde se teinter des merveilleuses couleurs de la joie et de la féérie, or, blanc rouge, bleu. Tant de nuances colorées qui caressaient son regard, tant de choses splendides qui stimulaient son regard et sa curiosité. La terre entière semblait vouloir lui donner ses bienfaits, de magnifiques papillons chatoyants volaient au ras de son petit visage enfantin, des libellules aux ailes irisées erraient entre les fleurs et des abeilles à la robe jaune et brune bourdonnaient gentiment, butinant le pollen des plus belles plantes de son village pour fabriquer leur miel.
Ainsi se passèrent les cinq premières années de sa vie, entre jeux, découvertes passionnantes et câlins de sa mère. Un jour cependant, alors qu’il se réveillait il ne la vit pas à ses côtés, il s’en inquiétait quand montant d’une colline proche de leur maison, un agréable parfum vint titiller ses narines, curieux, il le suivit et atterrit devant un magnifique champ de lys. Sa mère était là, assise au milieu des plantes, sa magnifique voix résonnant dans l’air frais de l’aube naissante, elle tenait dans ses mains une lyre immaculée et en jouait, un morceau si beau que, le garçon en était sûr, même les plantes devaient se ravir de l’entendre. Sa douce main se tend vers l’enfant et elle le serre dans ses bras, les notes de la mélodie résonnant encore dans l’air.
Ainsi lui inculque-t-elle l’amour de la musique, un amour vibrant et inépuisable.
Chapitre deux : La tragédie du village isolé et de l’enfant sans nom
Le bonheur n’est pas éternel, sinon il ne signifie plus rien. Les premières années de la vie de cet enfant avaient été si heureuses, si douces qu’il leur fallait un équivalent tout aussi brutal, un événement qui rassemblerait à lui seule toute la terrible puissance des tragédies et de la tristesse et frapperait le garçon pour briser son illusion paradisiaque. En un seul coup. Et c’est ce qui se passa, Un jour, alors que tout aurait pu être normal pour chacun, rien ne se passa normalement. Tout commença par un présage, une odeur, l’odeur de la mort. Personne ne s’en était rendu compte car c’était une simple trace résiduelle. Une trace qui en disait long. Mais personne ne l’avait ressentie, personne sauf l’enfant sans nom. Il tenta d’alerter les adultes, il fit tout ce qu’il pouvait, mais la paix et la sécurité avaient affaibli leurs esprits, ils ne croyaient plus aux présages de guerre, ils s’étaient fermés pour pouvoir continuer à sentir le parfum des fleurs et entendre la musique des lyres ou admirer la blancheur des nuages. Mais un autre signe du chaos se manifesta, les oiseaux se mirent à migrer, fuyant le village à tire d’ailes pour échapper à ce que leurs frères humains avaient tenté de se cacher. Mais même là, aucun ne voulait admettre que quelque chose se passait. Le troisième signe de la tragédie fut les ombres qui commencèrent à se dissimuler parmi les habitants. Et l’enfant se mit à courir, il courait pour fuir son village, les ombres dégageaient une aura malfaisante, une aura qui promettait la mort. Il fuyait tant qu’il ne vit pas l’homme en noir qui l’attrapa à bras-le-corps.
Une voix caverneuse s’éleva alors, prononçant la sentence :
- Avez-vous le gamin ? - Oui maître, et nos hommes ont investi le village. - Dans ce cas vous pouvez tuer les autres, brûlez aussi le village. - Bien maître.
Comment un enfant pouvait il comprendre de tels mots ? Il ne le pouvait pas. Et il ne comprit pas. L’homme qui le tenait leva la main, un grand bruit sembla se faire autour de lui et puis…le silence. Et soudain une clameur s’éleva du village, les hommes qui l’avaient investi tuaient sans retenue, femmes, enfants, vieillards. Les cris de douleur des villageois s’élevaient dans l’air telle une discordante cacophonie qui terrorisa l’enfant toujours prisonnier de l’autre homme, il se débattit, remua gesticula tenta tant bien que mal de s’échapper de l’emprise de l’autre. Celui-ci le frappa alors, l’enfant allait perdre connaissance quand il saisit une dernière chose : « Son nom est Joshua Tsurugi. » Et les ténèbres l’emportèrent. Ainsi s’acheva l’illusion de l’éternel bonheur, tel une larme, un unique pétale de lys vola vers l’enfant évanouit comme pour lui annoncer la mort de sa chère mère. Il avait tout perdu mais avait gagné un nom, seulement il l’ignorait. Les hommes l’emportèrent au loin, décidés à l’utiliser.
Chapitre trois : Au plus profond des Ténèbres
Après la tragédie, que reste-t-il à un homme ? Et à un enfant ? Le désespoir absolu. Il était sur un bateau, le roulis mélancolique des flots transportant les désespérés vers un monde de malheur dont ils ne pourraient s’échapper. Lorsque Joshua apprit la terrible nouvelle, son cœur d’enfant ne comprit pas. Il ne comprenait pas ce que la mort signifiait. Les hommes qui l’avaient enlevé le conservaient enfermé dans une cellule sombre, le nourrissant à peine. Les jours passèrent, ses compagnons de cellule étaient tous emportés l’un après l’autre, leurs regards vides et sans lumière continuaient de fixer un passé que leurs geôliers avaient depuis longtemps effacé. Et un jour ce fut le tour de Joshua, ils l’emmenèrent dans une salle semblable à une salle de torture, il avait perdu tout lien avec le présent, il ne ressentait même plus la torture, mais, aux mains de ces ennemis, il comprit enfin, ce que la mort signifiait. Un flot de haine destructeur se déversa en lui, quelque chose sembla se réveiller tandis qu’il prenait conscience de la terrible douleur qu’il subissait. Il avait six ans et venait de comprendre qu’il ne reverrait jamais sa mère. Il cria. Il supplia. Toutes les fibres de son être, toute sa vitalité se refusait à accepter cette horrible souffrance. Soudain, au dehors, les hommes virent un cercle magique; il y eut une explosion: quelqu'un était en train de secourir le gamin ! Tout était sombre, trop sombre, il avait peur, il ne comprenait pas, il voulait voir sa mère. Mais elle ne venait pas, personne ne venait. Il était seul. Soudain une main jaillit de l’obscurité, une main blanche vibrant de vie et d’un nouveau sentiment : l’espoir. La main d’une femme saisit celle de Joshua et le tira des profondeurs, il émergea de l’eau, la carcasse du bateau avait déjà coulé, elle et tout son équipage, pauvres malheureux que la vie avait rejetés et tortionnaires sans âme, tous coulèrent au fond de la mer impitoyable et impartiale. Une femme serrait Joshua dans ses bras tandis que lui au bord de l’inconscience croyait voir sa mère, un faible sourire se dessina sur son visage et il murmura :
- Maman… - Tu peux m’appeler maman si tu veux, tu vas bien ?
Il n’entendit pas le dernier mot, il était déjà endormi dans ses bras.
Chapitre quatre : L’ombre du passé
La femme qui l’avait accueilli se nommait Esther, son comportement et ses paroles étaient dignes de lui rappeler sa mère aussi il s’habitua rapidement à sa nouvelle vie. Esther vivait dans une belle maison assez spacieuse. Elle était seule et n’avait jamais eu d’enfant, aussi Joshua fut il materné comme s’il était son enfant. Des jours heureux se profilaient à l’horizon, sans hommes maléfiques pour détruire ce bonheur. Aux plaisirs e la nature et de la musique succédèrent les plaisirs du travail joyeux tandis que le garçon se reconstruisait petit à petit. Et les jours passèrent, effaçant progressivement le lourd passé du jeune homme. Mais cette nouvelle période de paix ne suffisait plus. Joshua avait huit ans et chaque nuit, le souvenir de ce jour où il avait réalisé l’horreur de la mort venait le hanter, ce qu’il avait fait, ce qu’il avait subi. Chaque nuit, le feu, le noir, la mort. Et cette sensation de chute et de noyade dans des abysses sans fond. Ils avaient décidé d’un accord tacite de ne pas parler de ce qu’avait vécu Joshua avant qu’elle de le trouve, mais lui n’en pouvait plus d’entendre les fantômes de son passé, il voulait que cela cesse, aussi un jour lui demanda-t-il les réponses qu’il avait enterrées dans le passé et qui seules pouvaient effacer la douleur de l’oubli. Voyant la douleur qui couvait dans le cœur de son enfant, Esther avait tenté de l’apaiser de toutes ses forces mais rien de ce qu’elle faisait ne pouvait endiguer le flot de souvenirs qui envahissait Joshua, elle ne pouvait pas le préserver de cette obscurité qui un jour avait fait exploser le bateau d’où elle l’avait tiré, ruisselant d’eau. Elle était impuissante. Incapable de lui fournir les réponses. Mais rien n’était encore fini, un jour alors qu’il marchait mélancoliquement vers la ville, il croisa un homme qui lui dit une chose ; une seule
-Je peux t’aider à comprendre ton passé si tu le souhaites.
Cela suffisait au jeune garçon, il ne voulait pas en savoir plus. Acquiesçant du regard, il courut retrouver sa protectrice et lui annonça la nouvelle. Avec un sourire elle le laissa rejoindre celui qui elle le savait deviendrait le maître de cet enfant, une conversation lui revenait en mémoire, l’homme avait dit « un jour je reviendrai chercher ton fils pour l’aider à se libérer du passé et le guider. D’ici là prends bien soin de lui. » Elle agita donc la main en signe d’au revoir, un grand sourire aux lèvres. Où qu’il aille, elle savait que Joshua serait heureux et en sécurité et cela lui suffisait.
Chapitre cinq : Le maître et le disciple
L’homme s’appelait lui Matthias. Il disait posséder les clés de la tragédie vécue par Joshua et en effet il les possédait, il fit du jeune garçon son élève et lui enseigna à lire, écrire, compter, toutes les choses utiles pour vivre dans ce monde. Mais ce n’était pas tout, Matthias ou Matt comme il voulait que son élève l’appelle lui parla d’hommes dangereux qui prônaient un culte barbare : les Noyés de Dieu. Des hommes sans scrupules qui enlevaient des hommes, des femmes et des enfants pour en faire des êtres dénués d’existence propre et leur implanter des bombes de lacrima dans le corps. C’était eux qui l’avaient enlevé et avaient massacré tout son village et tué sa mère.
-Mais…pourquoi font ils ça ? Pourquoi tentent-ils de faire du mal à tout le monde ? -Parce qu’ils cherchent à atteindre le Paradis. -Mais pensent-ils y arriver en tuant et en faisant du mal ? Je ne comprends pas. -Les Noyés de Dieu pensent créer une magie ultime qui rassemblerait toute la souffrance des gens qui les entourent et ainsi atteindre le Paradis. C’est pour ça qu’ils s’en prennent aux autres, pour récolter leur malheur.
Effrayante révélation ; ces hommes désiraient donc répandre le malheur pour atteindre un hypothétique paradis. Enfin la vérité. C’était comme un souffle de bien-être pour le garçon, il comprenait enfin pourquoi lui avait été choisi ; Mais un mystère demeurait. Un jour, alors que Matt lui apprenait à cuisiner un nouveau plat, il posa la question fatale :
-Maitre, pouvez-vous m’apprendre la magie ? -Hum ? Pourquoi donc ? -Eh bien…quand j’étais leur prisonnier, un homme a tout fait exploser, ce qui m'a permis d'y survivre, je sais que cet homme c'est vous et je voudrais que vous m'enseigniez cet art.
Le maitre eut un sourire, ainsi l’enfant voulait comprendre. Laissant son plat, il l’entraina dans une pièce isolée de la maison où personne ne pouvait les voir. Il lui expliqua le phénomène qui s’était passé ce jour-là. Il était en fait dépositaire d’une magie de lumière. Il lui enseigna la discipline mentale qui il permettrait de soumettre ce nouveau pouvoir à sa volonté, il lui révéla les arcanes de leur magie et lui apprit à l'utiliser en accord avec son sentiment le plus profond car -disait il- un homme devenait plus fort lorsque son cœur, son âme et sa magie était connectés. Cet entrainement dura dix ans, dix ans au cours desquels le garçon se renforça, il était plus calme, plus serein, plus indépendant aussi. Son entrainement terminé, il quitta son maître et partit arpenter les routes du royaume de Fiore. Technique 1 : Couronne d'Helios : Des rayons lumineux se condenseent en trois boules que Joshua envoient sur l'adversaire. Les boules infligent de gros degats si elles touchent l'ennemi Technique 2 : Capitulation des ombres : Ce sort invoque une lumière éblouissante qui détruit aussitôt tout ce qui recèle de la noirceur Technique 3 : Lumière sacrée : Le sort le plus puissant de Joshua, il permet de créer de la lumière qui au lieu de blesser l'adversaire permet de toucher son âme et de le transformer mentalement. Technique 4 : Flash boréal : Un puissant flash de lumière qui aveugle l'ennemi et lui inflige des dégâts en même temps Technique 5 : Danse arc en ciel : Joshua joint ses mains et lance un sept rayons ayant chacun une des sept couleurs du spectre de la lumière blanche
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